Albares s’est entretenu au téléphone avec la coopérante espagnole alors qu’elle se trouvait en Cisjordanie et venait de retrouver sa famille, après avoir été accompagnée par le personnel diplomatique espagnol.
Lors de sa conversation avec le ministre Albares, Juana Ruiz lui a fait part de sa « profonde reconnaissance » pour les démarches réalisées par le gouvernement espagnol pour sa remise en liberté, mais aussi de son souhait de rencontrer prochainement le ministre lui-même. Ruiz s’est montrée « extrêmement heureuse » de la solidarité dont a fait preuve l’Espagne qui, selon les dires de ses enfants, a été essentielle pour l’achèvement du processus.
Le contact avec la coopérante s’est produit à peine quelques heures après que le ministre israélien des Affaires étrangères, Yair Lapid, ait confirmé à son homologue espagnol la libération imminente de la coopérante espagnole. Albares a remercié son homologue israélien de cet appel ayant confirmé sa libération.
Le ministre espagnol a également profité de l’occasion pour mettre en exergue le travail extraordinaire réalisé par les services du ministère des Affaires étrangères, de l’Union européenne et de la coopération qui ont fait tout leur possible pour assister depuis le consulat Juana Ruiz et les membres de sa famille pendant ces longs mois.
-TRADUCTION NON OFFICIELLE-